Chirurgie du poignet
De nombreux patients se plaignent de douleurs chroniques ou post traumatiques du poignet, sans diagnostic précis autre qu’« entorse », « tendinite » ou « fracture ». Néanmoins, ces lésions du poignet peuvent être graves, et entrainer des douleurs importantes ainsi qu’une limitation lors des gestes de la vie quotidienne ou d’activités sportives. Les récentes avancées techniques permettent au chirurgien du poignet de proposer un diagnostic et une prise en charge plus précise ainsi qu’une récupération postopératoire plus rapide.
Sommaire :
Un chirurgien spécialiste du poignet à Paris
Chirurgien orthopédiste spécialiste exclusif du membre supérieur depuis plus de 20 ans, le Dr Philippe Roure est un chirurgien du poignet qui exerce à Paris et consulte dans son cabinet situé dans le 7e arrondissement et opère à la Clinique du sport (Paris 5).
Le poignet est une articulation complexe, formée de nombreux os et de multiples ligaments, qui consolident ou cicatrisent souvent difficilement. Les lésions du poignet sont souvent négligées, car elles passent régulièrement inaperçues sur les examens complémentaires radiologiques.
Une lésion du poignet a pourtant des conséquences majeures pour la vie quotidienne, professionnelle et sportive du patient. Une prise en charge précoce par un chirurgien spécialiste du poignet et avec une solide expérience est ainsi fondamentale pour une récupération optimale.
Parmi les pathologies traitées par le Dr Roure dans son activité de chirurgien du poignet à Paris, on trouve notamment les fractures du poignet et du scaphoïde, les entorses du poignet, l’arthroscopie du poignet, le kyste synovial ainsi que la pseudarthrose du scaphoïde.
Les nouvelles technologies chirurgicales au service de la chirurgie du poignet
Ces dernières années, le développement des systèmes d'imageries tels que l'arthroscanner ou l'IRM a permis d'affiner les diagnostics des lésions du poignet. Ces nouvelles technologies permettent de mieux identifier la cause de ces douleurs du poignet. Elles permettent également de proposer les traitements médicaux ou chirurgicaux les plus appropriés pour traiter spécifiquement les différentes pathologies du poignet.
Un examen clinique minutieux réalisé par un chirurgien expert du poignet et avec une solide expérience reste néanmoins le meilleur outil diagnostic.
Les chirurgiens spécialistes du poignet disposent désormais de techniques chirurgicales micro-invasives comme la chirurgie arthroscopique du poignet qui ont permis une nette avancée dans la compréhension des phénomènes douloureux du poignet et d'y apporter une réponse chirurgicale.
En effet, les techniques chirurgicales mini-invasives permettent de réparer un certain nombre de lésions du poignet qui n'étaient auparavant pas accessible aux techniques de chirurgie conventionnelle. De plus, les techniques arthroscopiques permettent au chirurgien du poignet de proposer des opérations avec une récupération plus rapide et moins douloureuse.
Conseils après votre opération du poignet
- Maintenez votre poignet au-dessus du coude : Tant que les suites opératoires d’une opération de chirurgie de poignet impliquent un gonflement de la main et des doigts, il est important de garder le bras en écharpe pour le conserver au-dessus du coude. Pendant la nuit et au repos, vous pouvez surélever votre main avec un oreiller. Éviter autant que possible d’avoir la main pendante le long du corps.
- Appliquer de la glace plusieurs fois par jour pour réduire l'œdème postopératoire, et pour soulager les douleurs. Après une chirurgie du poignet, vous pouvez appliquer 4 à 6 fois par jour pendant 15 à 20 minutes.
- Masser vos doigts dans un mouvement allant du bout des doigts vers la main. Vous pouvez utiliser des crèmes du type Hémoclar, Cicaplast ou des crèmes à base d'aloe vera. Lors du message, ne forcez pas pour éviter de générer des douleurs. Il est important de conserver le pansement et/ou l'attèle d'immobilisation pendant le massage.
- Effectuer des exercices pour préserver la mobilité du membre supérieur : flexions – extensions au niveau des doigts, extensions complètes au niveau du coude, grands cercles (en avant et en arrière). Attention : Lors de ces mouvements, il ne faut pas bouger les articulations protégées par une attelle ou un plâtre !